Je m’appelle Philippe, j’ai 39 ans et je vis dans le Pas-de-Calais. Ce blog existe depuis 2006 et représente à date plus de 350 livres lus et chroniqués.
Je rends compte ici de mes lectures en toute candeur et avec un amateurisme assumé. J’écris à la première personne pour éviter autant que possible l’écueil du on. Je lis principalement des romans. Je n’ai pas de thème littéraire de prédilection, peu importent les époques et les auteurs, je lis ce qui me tombe sous la main ou ce qui m’inspire. Vous ne trouverez donc pas forcément ici les livres à la mode, des résumés pour l’école, l’actualité de la littérature ou les livres qu’il faut avoir lus. Juste les livres que je lis et que, j’espère, vous lirez aussi.
J’ai récemment fait le bilan de mes 10 ans de blog littéraire. L’occasion pour moi de revenir sur les livres que vous avez lus, les livres que vous avez boudés et les livres que vous auriez dû lire !
Je lis principalement de la littérature québécoise car j’ai vécu 8 ans à Montréal et je pense qu’il est important de connaître la littérature du pays qui nous accueille. Je lis aussi de la littérature française ou encore de la littérature américaine.
J’ai écrit pendant 8 ans pour le webzine la recrue du mois : la vitrine des premières œuvres littéraires québécoises. Vous pouvez consulter la liste des articles que j’ai écrits dans le cadre de cette collaboration.
Même si je trouve toujours un livre intéressant à la bibliothèque et dans les librairies, je suis aussi à la recherche de suggestions de lecture. N’hésitez surtout pas ! Vos commentaires sont évidemment les bienvenus : ce blog se veut un espace de discussion. Pour me contacter directement par courriel, laissez-moi un mot dans le formulaire ci-dessous :
Les livres que je lis 
Entre tous, je choisis comme meilleur livre de l’année 2008, le dernier roman de Madeleine Monette, auteure québécoise, « Les Rouleurs ».
Pour décrire son écriture j’emploie les mots du site de Nuitblanche.com: « Madeleine Monette a un don pour créer des images inattendues mais tellement justes qu’elles font voir et entendre. Elle puise dans un vocabulaire très étendu, empruntant avec autant de naturel à l’argot des jeunes de la rue qu’à la terminologie spécialisée du chant. Un propos à résonance psychosociale, dans un espace qui reproduit le côté sombre de la ville contemporaine, coulé dans une forme littéraire remarquable, fait des Rouleurs une oeuvre qui pourrait bien figurer dans une éventuelle comédie humaine de notre époque. »
Michel Kieffer
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@ Michel Kieffer : merci beaucoup pour cette suggestion de lecture !
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merci
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quand recevrons nous la première lettre de Martha de 2011
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Aucune idée, je ne suis plus abonné depuis un an. Il faut poser la question sur le site de Marie Laberge.
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Je viens de m’inscrire, je fais juste un test. Désolée pour le dérangement.
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Pas de problème, message bien reçu ! Merci de me suivre.
Philippe
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