Tintinophiles, voilà un beau livre qui va vous intéresser !
Le sous-titre de l’ouvrage, Hergé au cœur de la Révolution tranquille, est peut-être plus explicite que le titre générique Tintin et le Québec. Tintin a débarqué relativement tardivement au Québec et a été la bande dessinée de référence pour les jeunes Québécois des années 60. Le célèbre personnage d’Hergé est arrivé dans une société en pleine mutation avec une jeunesse ayant soif de découvertes et une grande ouverture sur l’international. Tintin, par sa curiosité et son caractère intrépide, ne pouvait donc que séduire les Québécois de cette époque. La première partie du livre de Tristan Demers fait le point sur les premiers pas de Tintin au Québec dans ce contexte.
Hergé lui a mis les pieds plus tard au Québec, en 1965. Et il n’y est venu qu’une fois. Ce séjour fait l’objet de la deuxième partie de l’ouvrage et le programme de sa visite nous est présenté par le menu. De sa présence au Salon du Livre de Montréal à sa visite du chantier hydro-électrique Manic 5, la personnalité d’Hergé est révélée au travers des souvenirs des personnes qu’il a rencontrées. L’ouvrage est en effet riche en photos et correspondances de l’époque. À noter que tout au long de son séjour, Hergé s’est vu pressé de questions sur la possibilité d’une aventure de Tintin au Québec dans un futur album. S’il s’est bien gardé de s’engager malgré l’enthousiasme des lecteurs de Tintin, un projet de film de Tintin au Québec a failli voir le jour.
J’ai trouvé que la troisième partie du livre était un peu plus décousue que le reste. Elle présente quelques personnalités québécoises ayant un lien particulier avec Tintin comme Mario Jean et Yves Pelletier mais aussi le jeune Denis Thérrien, prodige de l’émission Tous pour un grâce à ses connaissances très pointues sur l’univers de Tintin. Ses prouesses télévisuelles lui ont valu d’être invité par Hergé à Bruxelles. Tristan Demers récapitule aussi les différentes expositions sur Tintin ayant été présentées au Québec. La plus récente a été présentée au Musée des Civilisations de Québec et s’intitulait Au Pérou avec Tintin. J’ai vu l’exposition à l’époque et je l’avais beaucoup appréciée.
Voilà donc un ouvrage qui s’adresse à la fois aux passionnés de Tintin et à ceux qui s’intéressent à l’histoire du Québec. Tintin est ici un beau prétexte pour en apprendre plus sur le Québec de l’époque. Je n’imaginais pas à quel point Tintin avait pu marquer la société québécoise. Saluons donc le travail de Tristan Demers, un passionné qui a rassemblé de nombreux documents pour façonner un bel ouvrage. Voici une vidéo où il présente lui-même Tintin au Québec :
Pour être un véritable ami de Hergé pour avoir la chance de détenir une planche originale inédite de Hergé de 1933, sans compter le reste constitué de multiples pièces plus rares les unes que les autres…. On en arriverait à dire qu’il y a des membres qui constituent un véritable faisceaux de ramassi de tarés incultes qui se prennent pour des collectionneurs avertis parce qu’ils font des commentaires bêtes et stupides dans l’ensemble pour composer la substance de leur site ( http://www.forum-tintinophile.com ). Mais pire encore, lorsqu’il y a eu inscription sur le site, voyant un comportement condescendant et orgueilleux des imbéciles du site, vite il a fallu retirer le profil en raison du temps qui se perdait avec leur comportement d’une inclassable bêtise, imbu de leur bêtise innée pour leur site : http://www.forum-tintinophile.com , alors que commencait à être amener des propos très avancés sur certains aspects de la collection et le comportement de Tristan DEMERS qui a fait endosser à un faux dessin de Hergé la paternité de ce dernier dans son ouvrage Tintin et le Québec, Tintin et la révolution tranquille chez Hurtebise, de 2008. Le ridicule dessin de Tintin qui leche la tire en tirant une langue de vache, d’un grotesque hors du commun, est un crayonné realisé par Yves RODIER alors qu’il percevait l’aide sociale , en 1986, sous l’impulsion initiatique de Feu Real Filion, au 10365, rue Saint-Maurice, à Loretteville, à Quebec. Voilà qu’un triste ramassi d’imbéciles vient de faire perdre la divulgation d’oeuvres de Hergé non encore connues du public et qui risque de l’être encore longtemps, et pire, nul pièce detenue ne se verra se retrouver dans un musée en France et encore moins au Québec, ce à quoi il sera scrupuleusement veillé par disposition lègales. En ajoutant le fait qu’il est patent que les connaissances et la divulgation de l’image des plus importants objets de collection de Hergé au Québec qui auraient enrichi considérablement le bouquin de Demers ont été occultés, nous le savons pourquoi, – parce que le dessin de l’imposture ( Tintin à la langue de vache ) n’aurait jamais été mis de l’avant dans l’ouvrage de DEMERS en raison du fait qu’une certaine expertise aurait été exercée par la source de connaissance spécialisée qui a été contournée volontairement par Tristan DEMERS. Quelle tristesse.
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